Protéines de volaille déshydratées, orge, gluten de maïs, fibres végétales (betterave), graisse de volaille, lignocellulose, protéines animales hydrolysées (volaille et porc), huile de poulet raffinée, œuf déshydraté, pulpe de pomme, farine de zooplancton marin (Krill, source d’acides gras Oméga 3), Moringa oleifera, FAEC Complete ((extrait de Yucca schidigera, produits de levure (Saccharomyces cerevisiae, comme source de MOS et de nucléotides), glucosamine, chondroïtine sulfate, méthylsulfonylméthane, racine de chicorée, Salvia rosmarinus, Melissa officinalis, Taraxacum officinale, Salvia officinalis, Minthostachys verticillata, Cynara scolymus, Silybum marianum), FAEC Inmune (Panax ginseng, Punica granatum, Zingiber officinale, Urtica dioica, Camellia sinensis, Curcuma longa), FAEC ProbioInmune (Enterococcus faecium, Lactobacillus plantarum, Lactobacillus fermentum, Saccharomyces boulardii).

Bien que le diabète ait une incidence d’environ 0,2 % de la population, il nécessite un traitement à vie. Parmi les 2 types de diabète, celui dont l’incidence est la plus élevée chez le chien est le type 1, qui affecte la production d’insuline, le type 2 étant plus fréquent chez le chat. La propension à l’apparition du diabète est accentuée chez les chiens âgés. L’identification de cette pathologie n’est pas toujours facile, alors vérifier si polydipsie, polyurie, polyphagie apparaissent et observer une perte de poids et une léthargie sont des indicateurs à suivre, même s’il est indispensable de réaliser des tests vétérinaires. Il est réconfortant de savoir qu’un chien atteint de cette condition et le traitement approprié : exercice, alimentation et insulinothérapie a une espérance de vie similaire à celle d’un chien en bonne santé.

Une alimentation efficace dans la régulation de l’apport en glucose doit contenir un faible taux de sucres, dans le but de minimiser la glycémie postprandiale. La gestion nutritionnelle de la glycémie repose en grande partie sur les fibres, qu’elles soient solubles ou insolubles, puisqu’elles permettent de réguler le transit, la densité énergétique et, dans le cas des fermentescibles, une meilleure tolérance au glucose. Un niveau de graisses adéquat et, dans une moindre mesure, la teneur en protéines sont également importants, bien qu’une teneur plus élevée que dans un régime standard soit recommandée comme mesure pour réguler l’apport en graisses et en glucides.

Encore une fois, la supplémentation en probiotiques est très intéressante, car le diabète de type 1 se caractérise par la destruction des lymphocytes B producteurs d’insuline et est de nature auto-immune, et le bénéfice que ceux-ci procurent est à l’étude en raison de leur effet immunomodulateur et à la fois sur le développement du diabète sucré de type 1.

Bien que le diabète ait une incidence d’environ 0,2 % de la population, il nécessite un traitement à vie. Parmi les 2 types de diabète, celui dont l’incidence est la plus élevée chez le chien est le type 1, qui affecte la production d’insuline, le type 2 étant plus fréquent chez le chat. La propension à l’apparition du diabète est accentuée chez les chiens âgés. L’identification de cette pathologie n’est pas toujours facile, alors vérifier si polydipsie, polyurie, polyphagie apparaissent et observer une perte de poids et une léthargie sont des indicateurs à suivre, même s’il est indispensable de réaliser des tests vétérinaires. Il est réconfortant de savoir qu’un chien atteint de cette condition et le traitement approprié : exercice, alimentation et insulinothérapie a une espérance de vie similaire à celle d’un chien en bonne santé.

Une alimentation efficace dans la régulation de l’apport en glucose doit contenir un faible taux de sucres, dans le but de minimiser la glycémie postprandiale. La gestion nutritionnelle de la glycémie repose en grande partie sur les fibres, qu’elles soient solubles ou insolubles, puisqu’elles permettent de réguler le transit, la densité énergétique et, dans le cas des fermentescibles, une meilleure tolérance au glucose. Un niveau de graisses adéquat et, dans une moindre mesure, la teneur en protéines sont également importants, bien qu’une teneur plus élevée que dans un régime standard soit recommandée comme mesure pour réguler l’apport en graisses et en glucides.

Encore une fois, la supplémentation en probiotiques est très intéressante, car le diabète de type 1 se caractérise par la destruction des lymphocytes B producteurs d’insuline et est de nature auto-immune, et le bénéfice que ceux-ci procurent est à l’étude en raison de leur effet immunomodulateur et à la fois sur le développement du diabète sucré de type 1.